Dura lex sed lex
« C’est choquant […] c’est excessif […] on doit pouvoir mettre un plafond », déclarait Emmanuel Macron en 2022 à propos, déjà, de la rémunération du patron de Stellantis. Une campagne présidentielle, deux années et quelques millions supplémentaires dans l’escarcelle de Carlos Tavares plus tard, c’est........
© L'Echo Républicain
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