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Un lundi par mois, l'avocat international Alain Werner, directeur de l'ONG Civitas Maxima, revient sur les heurs et malheurs de la justice internationale

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La différence la plus frappante entre la poursuite d’un crime de droit commun – par exemple un homicide commis à la suite de l’attaque d’une banque – et celle d’un crime international – génocide, crime de guerre, torture, crime contre l’humanité – est que pour ces derniers seulement, la poursuite pénale ne se prescrit jamais.

Après un certain nombre d’années, s’il n’est pas retrouvé, l’homme qui a attaqué la banque ne peut plus être poursuivi. Or, aussi longtemps que la personne soupçonnée de crimes internationaux est vivante, elle peut l’être, même très longtemps après les faits.

QOSHE - Les crimes internationaux ne meurent jamais (mais leurs auteurs vieillissent) - Alain Werner
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Les crimes internationaux ne meurent jamais (mais leurs auteurs vieillissent)

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22.04.2024

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