Retrouvez toutes les fins de semaine «Ma semaine suisse», la chronique d'Yves Petignat

Voici janvier. Et déjà plein de promesses, de vent, de pluie, de loups abattus et d’espoirs déraisonnables. Ainsi demande-t-on beaucoup trop au Conseil fédéral. Bien plus qu’il ne peut en donner. A ce point que l’éditorialiste du Temps en est venu à souhaiter que «le Conseil fédéral montre la voie en 2024». Son collègue de la NZZ attend du gouvernement «qu’il se montre plus courageux et assume des responsabilités à l’international».

Alors que le rédacteur en chef de la SonntagsZeitung ne lui laisse guère de choix: «La Suisse doit clarifier ses relations avec l’UE et l’OTAN. Pas n’importe quand, mais dans les deux prochaines années.» Il est vrai qu’au-delà des dossiers internes – la votation sur une 13e rente de l’AVS, les deux initiatives pour freiner les coûts de la santé, l’accueil des migrants – la pression internationale va s’accentuer sur la Suisse pour qu’elle sorte de l’ambiguïté dans ses relations européennes.

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Le Conseil fédéral fait ce qu’il peut, hélas

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07.01.2024

Retrouvez toutes les fins de semaine «Ma semaine suisse», la chronique d'Yves Petignat

Voici janvier. Et déjà plein de promesses, de vent, de pluie, de loups abattus et d’espoirs déraisonnables. Ainsi demande-t-on beaucoup trop au Conseil fédéral. Bien........

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