« Le chat est une catastrophe pour la biodiversité, le chien est une catastrophe pour le climat. » Cette affirmation du politologue François Gemenne, au micro de LCI ce mercredi 13 décembre, a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Et pourtant, selon diverses études, dont l'une récemment parue dans la revue Nature, en tant que super-prédateur, le félin préféré des Français menace bel et bien certaines espèces, comme les petits volatiles et rongeurs. Quant au canidé, il a un impact non négligeable sur l'environnement, principalement en raison des conditions de production de son alimentation.

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Au-delà de leurs fondements scientifiques, les propos de l'auteur du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) soulèvent une question d'ordre politique et même métaphysique : généralement associées dans l'imaginaire collectif, la préservation de la planète et la défense des animaux se rejoignent-elles... ou sont-elles en rupture ? L'historien Alexis Vrignon, spécialiste des mouvements écologistes, prévient d'emblée : « Vu de l'extérieur, on pourrait croire qu'elles sont intrinsèquement liées. Or en réalité, l'alliance est loin d'être évidente ! »

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"Ils sont compatibles avec l'extrême droite" : écolos et antispécistes... pourquoi tant de haine

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18.12.2023

« Le chat est une catastrophe pour la biodiversité, le chien est une catastrophe pour le climat. » Cette affirmation du politologue François Gemenne, au micro de LCI ce mercredi 13 décembre, a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Et pourtant, selon diverses études, dont l'une récemment parue........

© Marianne


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